miercuri, 16 aprilie 2014

C’est ainsi que le thé Deniplant est né.

J’accept qu’il se peut que la maladie recidive, mais comme je l’avais dit auparavant, la gripe le fait aussi, donc je vais me soigner de nouveau aux plantes et je sera guéri pour une autre vingtaine d’années. Est-ce-que vous, le malade souffrant de psoriasis, ne seriez-vous pas content de ça?
Donc, je voudrais que tous ceux qui vont lire ces lignes et qui sont atteints par psoriasis l’apprennent par moi et par ceux qui m’ont fait confiance; je voudrais qu’a l’avenir proche ils soient capables de dire eux aussi: “J’étais malade souffrant de psoriasis”.
Pour faire la preuve de ce dont j’ai écrit jusqu’ici, je commencerai par la présentation de mon cas.

Le début de la maladie a eu lieu dans les années quand j’etais élève au lycée militaire, où je m’y suis adapté très difficilement aux privations imposées. Loin de chez moi, de mes parents, puis le fait de me mouvoir dans un espace très étroit, entouré par des clôtures sous garde, l’impossibilité de sortir dans la ville quand on en avait envie, l’execution d’actions strictement ordonnées et imposées, tout cela sont seulement quelques unes de choses que j’ai du subir. À tout cela on ajoutait le stress provoqué par un professeur qui pandant trois ans me donnait chaque trimestre des notes qui me rendait tout le temps en repêchage, jusqu’au dernier moment du semestre, quand il me promova quand même.
          Imaginez-vous le stress que j’avais toujours dans le troisième trimestre, quand je savais que si je n’avais pas surmonté le repêchage, je risquais d’être renvoyé du lycée. Et puis venait la dernière heure de cours du trimestre, quand j’était chaque fois promu. Et comme je l’avais dit, chaque trimestre, chaque année on m’administrait cette goutte de poison. Sur ce fond-là, mon organisme n’a pas resisté (j’avais une faible constitution) et je suis tombé malade de psoriasis.

 Au commencement j’avais suivi un traitement aux différents onguents et solutions de décapage. Les lésions avaient l’air de guérir, mais assez vite elles récidivaient. Ce qui plus est le facteur stress qui etait toujours présent.
Après le cours du lycée militaire, j’ai suivi les cours de l’école d’officiers, où le stress et les privations etaient de plus en plus grandes et moi, je devais les supporter.
Après ma première année à l’école d’officiers, mon corps ne repondait plus aux onguents, il s’agissait déjà d’accoutumance et de la dépendence. J’ai du subir un traitement aux rayons ultra-violets. Un an après le traiement, les pauses necessaires y compris, donc en 1980, les rayons ultra-violets n’avaient plus l’effet du commencement. La maladie s’est propagée sur tout mon corps, le cuir chevelu y compris. Dans ce cas j’ai du subir pendant deux mois des séances aux rayons PUVA. À la suite de ces séances, les lésions étaient guéries en proportion de 95%, en restant encore seulement les traces des lésions guéries et quelques taches. L’année suivante j’ai changé de vie, donc une partie des éléments de stress ont disparus et la maladie n’a pas rechuté avec la même intensité, de sorte que j’ai réussi de reprendre mon traitement aux onguents, que j’ai suivi presque 2 ans.
Ensuite, en allant en excursions aux Montagnes de Vrancea, à laquelle j’ai parlé de ma souffrance m’a reccomendé de lire un livre sur la medecine populaire roumaine, plus exactement “Des remèdes de bonne-femme contre les maladies”. J’ai pris ce vieux livre aux pages jaunies par le temps, je l’ai copié mot-à-mot et c’est ainsi que j’ai fait la connaisance des effets benefiques de la phytothérapie. 

Au commencement je n’y pas cru, mais les mots de la vieille femme me sont restés imprimés dans ma memoire jusqu’ici: “mon fils, essayez aussi de ces rèmedes de bonne-femme, vous n’avez rien à perdre”.

Et j’en ai suivi les conseilles de la vieille dame, j’ai lu le livre des dizaines de fois, et j’ai commencé à ramasser les plantes indiquées dans le livre, d’en faire de combinaisons et de les utiliser. À un certain point les resultats ont commencé d’apparaître, c’est à dire qu’en rennonçant aux onguents dont je ne pouvais pas m’en passer, j’ai reussi à resister en utilisant seulement le traitement naturel et sans diète alimentaire. C’est ainsi que le thé Deniplant est né.

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