LES PLANTES MÉDICINALES
Récolte, séchage, conservation, principes actifs,
action pharmaceutique-dinamique
Un magazine français a publié en 1977 une ample étude intitulé
“Les plantes qui guérissent”. L’auteur précise que la selection de plantes
médicinale a apporté des fois de faibles résultats parce qu’on n’a pas tenu
compte des opinions et de l’expérience de guérisseurs traditionnels, facteurs
qui seraient capables d‘assurer au moins 50% du succés. C’est’une erreur –
disait-l – d’ignorer ou de sous-estimer l’experience populaire en ce qui
concerne la thérapie, transmise d’une génération à l’autre. L’obtention de
résutats efficaces par l’utilisation des plantes dans un but thérapeutique est
basée sur la bonne qualité des plantes, qui est conditionnée par leur contenu en substances actives,
contenu qui a son tour est détérminé par des facteurs génétiques de l’espèce,
du moment de la récolte, du mode de séchage et de conservation et de la
fraîcheur des plantes.
Premièrement, pour obtenir une matière première de qualité il
faut connaître quel est l’organe de la plante au plus grand contenu en substances
actives (racines, rhizome, parties aériennes, écorce, feuilles, fleurs, fruits,
graines). Deuxiemement, en ce qui concerne toujours le contenu en substances
actives, egalement imortant est le moment optimal de la récolte, qui est
conditionnée par le stage de végétation de plantes (avant floraison, en bouton
fleuri) et par le saison. Généralement, les plantes médicinales sont cueillies
en saison seche, au matin, lorsque la rosée s’évapore, ou l’après midi jusqu’au
coucher du soleil. De plus, il y en a d’autres, comme par éxemple la menthe,
qui valent miex être cueillies après le choucher du soleil. Troisièment, on
doit retenir quelle est la meilleure manière de les récolter. Pour n’en
detruire pas certaines espèces et pour assurer leur perpétuation, on doit tenir
compte de certaines règles pour la récolte. Au cas de récolte d’organes
sousterrains ou quand on récolte la plante entière, on doit laisser assez de
plantes sur cet endroit pour assurer leur reproduction pour les années a venir.
Même lorsqu’il s’agit de fruits, on va laisser en place certaines quantités
pour assurer la réfection des plantes.
Concernant toujours
l’efficacité des extraits obtenus à partir des plantes, on doit envisager le
mode d’emploi et les quantités récommandées. Du point de vue de l’affection
qu’on veut traiter, les plantes peuvent avoir une utilisation extèrne ou
interne.
Dans mon cas, je les ai utilisées intérnement, un procédé très
simple et à la portée de chacun. Par cette méthode, la résorption gastrique est
reduite à la majorité des principes actifs, du au taux élevé d’acidité du jus
gastrique. Les bases faibles ne peuvent pas pénétrer la membrane lipidique, les
bases étant disociées; par contre, la menbrane sera pénétrée par des acides
faibles et par des substances neutres. Très importante est la résorption faite
à travers la muqeuse interstinale qui a une très grande surface de résorption.
Par cette voie y pénetrent aussi la plupart des principes actifs, hydrosolubles
ou liposolubles, et certains sels minéraux venus des extraits de plantes
administrés par voie orale.
De plus, on doit tenir compte du mode d’administration des thés,
en fonction des repas principaux, un grand rôle dans la résorption étant celui
de la motilité intestinale (la capacité de mouvement), comme aussi la
bio-disponibilité de la forme d’administration de produits obtenus de plantes
(infusion, décoction, teinture, etc.).
Si on veut en avoir aussi un effet local, il faut utiliser des
extraits de plantes liposolubles, qui sont résorbées par voie cutanée.
Les solutions hydro-alcooliques favorisent la résorption cutanée,
en obtenant de bons résultats locaux. À soulignier le fait que l’épiderme lésée
favorise la résorption des principes actifs, pareille à la muquese qui est bine
vascularisée et pérmet donc la pénétration des médicaments proprement dits.
Généralement j’ai utilisé des plantes qui ont une action
pharmacologique: de stimulation générale de la fonction digestive, antiséptique
intestinale, antidiarrhéique, antispasmotique, antivomitive, carminative,
coleretique/colagogue, diurétique et antilithique, anti-inflammative,
antitussive, sudorifique, stimulant de la fonction hépatique, calmant des
coliques hépato-biliaires, sédatif et narcotique pour les centres nerveux
supérieurs, anti-tumoral, désinfectant et cicatrisant, stimulant la
métabolisation du cholestérol dans le foi, hypoglycémiant, un exceptionnel
vitaminique.
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