J’accept qu’il se peut que la maladie recidive, mais comme je
l’avais dit auparavant, la gripe le fait aussi, donc je vais me soigner de
nouveau aux plantes et je sera guéri pour une autre vingtaine d’années.
Est-ce-que vous, le malade souffrant de psoriasis, ne seriez-vous pas content
de ça?
Donc, je voudrais que tous ceux qui vont lire ces lignes et qui
sont atteints par psoriasis l’apprennent par moi et par ceux qui m’ont fait
confiance; je voudrais qu’a l’avenir proche ils soient capables de dire eux
aussi: “J’étais malade souffrant de psoriasis”.
Pour faire la preuve de ce dont j’ai écrit jusqu’ici, je
commencerai par la présentation de mon cas.
Le début
de la maladie a eu lieu dans les années quand j’etais élève au lycée militaire,
où je m’y suis adapté très difficilement aux privations imposées. Loin de chez
moi, de mes parents, puis le fait de me mouvoir dans un espace très étroit,
entouré par des clôtures sous garde, l’impossibilité de sortir dans la ville
quand on en avait envie, l’execution d’actions strictement ordonnées et
imposées, tout cela sont seulement quelques unes de choses que j’ai du subir. À
tout cela on ajoutait le stress provoqué par un professeur qui pandant trois
ans me donnait chaque trimestre des notes qui me rendait tout le temps en
repêchage, jusqu’au dernier moment du semestre, quand il me promova quand même.
Imaginez-vous le stress que j’avais toujours dans le
troisième trimestre, quand je savais que si je n’avais pas surmonté le
repêchage, je risquais d’être renvoyé du lycée. Et puis venait la dernière
heure de cours du trimestre, quand j’était chaque fois promu. Et comme je
l’avais dit, chaque trimestre, chaque année on m’administrait cette goutte de
poison. Sur ce fond-là, mon organisme n’a pas resisté (j’avais une faible
constitution) et je suis tombé malade de psoriasis.
Au commencement j’avais
suivi un traitement aux différents onguents et solutions de décapage. Les
lésions avaient l’air de guérir, mais assez vite elles récidivaient. Ce qui
plus est le facteur stress qui etait toujours présent.
Après le cours du lycée militaire, j’ai suivi les cours de
l’école d’officiers, où le stress et les privations etaient de plus en plus
grandes et moi, je devais les supporter.
Après ma première année à l’école d’officiers, mon corps ne
repondait plus aux onguents, il s’agissait déjà d’accoutumance et de la
dépendence. J’ai du subir un traitement aux rayons ultra-violets. Un an après
le traiement, les pauses necessaires y compris, donc en 1980, les rayons
ultra-violets n’avaient plus l’effet du commencement. La maladie s’est propagée
sur tout mon corps, le cuir chevelu y compris. Dans ce cas j’ai du subir
pendant deux mois des séances aux rayons PUVA. À la suite de ces séances, les
lésions étaient guéries en proportion de 95%, en restant encore seulement les
traces des lésions guéries et quelques taches. L’année suivante j’ai changé de
vie, donc une partie des éléments de stress ont disparus et la maladie n’a pas
rechuté avec la même intensité, de sorte que j’ai réussi de reprendre mon
traitement aux onguents, que j’ai suivi presque 2 ans.
Ensuite, en allant en excursions aux Montagnes de Vrancea, à laquelle j’ai parlé de ma
souffrance m’a reccomendé de lire un livre sur la medecine populaire roumaine,
plus exactement “Des remèdes de bonne-femme contre les maladies”. J’ai pris ce
vieux livre aux pages jaunies par le temps, je l’ai copié mot-à-mot et c’est
ainsi que j’ai fait la connaisance des effets benefiques de la
phytothérapie.
Au commencement je n’y pas cru, mais les mots de la vieille femme
me sont restés imprimés dans ma memoire jusqu’ici: “mon fils, essayez aussi de
ces rèmedes de bonne-femme, vous n’avez rien à perdre”.
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